Quant au lélé, Ousmane Wade, dans son article qu’il a consacré à ce genre poétique, le présente comme suit :
« (…) de toutes les formes littéraires pulaar, il est le genre le plus métissé, dans son fond
comme dans sa forme. Autrement dit, le métissage se fait jour, tant au niveau des idées qu’au niveau de leur expression. Une illustration nous en est offerte par cette définition du lélé que Georges Voisset a citée dans un article : “polyphonie pulaar inspirée de la poésie anté-islamique où se mêlent l’arabe coranique, l’arabe pularisé, le pulaar et le hassaniya…” ».
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